Les traces d'une technologie évoluée
Jean-Pierre ADAM s'exprime dans le documentaire "La
Révélation Des Pyramides" :
je cite : On a longtemps (pas les égyptologues, je précise)
mais on a longtemps fait courir l'idée que les pyramides pourraient avoir une
autre fonction , c'est totalement exclu
!
Bien entendu, les dogmes n'existent pas, c'est totalement exclu ! il n'est absolument pas envisageable que ces
grands intellectuels bardés de diplômes, occupant des postes de haute-voltige,
se laissent influencer par leurs prédécesseurs issus pour la plus part, des
mêmes formations académiques, ces grands intellos dont les sources
d'information n'ont jamais évoquées d'autres possibilités sur le fait que ces
construction gigantesques auraient pu êtres conçus par d'autres techniques.
Certains s'efforcent d'expérimenter des méthodes de
construction dites similaires à celles qu'auraient pu employer les égyptiens
durant leur règne. L'expérience de NOVA (1991) est déterminante selon les
égyptologue, elle est prise en exemple par l' égyptologie et admise comme la
preuve que l'on peut bâtir des pyramides avec des techniques simples.
Moi j'appelle cela une fumisterie, on nous prend vraiment
pour des cons, chacun aura sa propre opinion à ce sujet !
Denys Stocks a lui aussi tenté de démontrer la technique qui permettait
aux artisans égyptiens de débiter les blocs de granite qui constitues une
partie de la grande pyramide (notamment la chambre du roi, mur, dalle plafond
etc.) , en utilisant des lames de cuivres associés au sable en abondance dans
le désert, il entaille sur quelques centimètres un morceau de granite de petite
taille et estime que cette démonstration est suffisante pour expliquer, le
débitage, l'ajustage, l'assemblage d'une grande précision de tous les éléments
en granite présents dans la grande pyramide.
On peut imaginer qu'il estime aussi cette démonstration suffisante pour déterminer la qualité remarquable des états de surfaces qui composent la chambre du roi, peut être par un polissage ultérieur !?
On peut imaginer qu'il estime aussi cette démonstration suffisante pour déterminer la qualité remarquable des états de surfaces qui composent la chambre du roi, peut être par un polissage ultérieur !?
Cette démonstration est intéressante, je ne remets pas en cause sa
volonté de vouloir apporter une réponse à la question du comment peut on
entamer un morceau de granite, mais elle se heurte inévitablement à deux
questions essentielles, Est-ce que cette technique est suffisante pour
permettre de débiter, d'ajuster d'énormes blocs de granite pour obtenir un
assemblage extrêmement précis ? La chambre du roi contient un sarcophage
monolithique, comment ce monolithe à pu être creusé avec cette technique ?
Denys Stocks indique d'ailleurs dans son documentaire que
cette méthode ne permet d'entailler que 30 centimètres cube de granite par
heure, il présume que le sarcophage aurait pu être fabriqué en 4 mois, mais il
se garde bien de démontrer comment, avec cette technique, les égyptiens ont pu
évider le sarcophage en laissant des surfaces lisses et des angles parfaits.
Un autre aspect semble également essentiel à mon sens, Denys
Stocks avance une progression de (30 centimètres cube de granite par heure)
mais ce constat a été effectué sur un morceau de granite ne dépassant guère les
30 centimètres de largeur, il va de soi que la pression exercée par la scie et
par les artisans qui la guide sur une si faible largeur peut entamé d'une façon
significative le granite, mais qu'en est-il sur un bloc de plus d'un mètre,
voir de plusieurs mètres (Longueur: 230 cm, Hauteur : 100 cm, largeur 89 cm pour
le sarcophage)? qu'en est-il de l'usure
considérable que subirait les lames de cuivre qui devrait être remplacées
régulièrement, car s'i l'on découpe une section importante, l'effet d'abrasion
ne s'applique pas seulement au granite mais aussi au cuivre, il va subir une
usure importante non seulement sur la tranche mais aussi sur les flancs. La
pression exercé sur la scie est proportionnellement inversé quand la surface
est plus importante, on imagine bien le maintient de cette pression sur un
morceau de granite de petite taille, mais sur un bloc de plus d'un mètre (1,60m
pour certain bloc qui compose le mur de la chambre du roi) cette pression
serait moindre inévitablement et la progression de (30 centimètres cube de
granite par heure) serait différente .
Les démonstrations de
"Denys Stocks" comme celle de "l'expérience de NOVA" ou
même le déplacement d'une statue de 5 tonnes sur l'ile de pâque démontrent que
l'homme peut faire preuve d'ingéniosité certes, mais si l'on reporte toutes ces
expériences à l'échelle réelle, elles deviennent beaucoup moins réalistes.
Selon les égyptologues ces monolithes évidés étaient
destinés à des sépulture, soit, mais pourquoi les égyptiens se seraient donnés
tant de mal à respecter une géométrie interne aussi accomplie pour entreposer
un corps momifié alors qu'une excavation approximative aurait suffit ?
Uniquement par soucis de finition ?
Est-ce que le volume interne représenterait
un intérêt pour un autre usage ?
Disposaient-ils
d'une techniques qui leur permettait de travailler la matière avec plus de
facilité ?
De plus les sarcophages à la gloire des roi sont ornés de motifs, mais aucun de ces motif n'est gravé sur le sarcophage de Khéops.
Sarcophage de khéops :
si mes sources sont exactes, tout comme le sarcophage de khéphren,
le sarcophage de Khéops a été conçu pour recevoir un couvercle à fermeture
coulissante dont le mécanisme est disposé à l'horizontale dans le sens de la
largeur par des glissières en demi-queue d'aronde, une rainure d'arrêt était aussi creusée sur la longueur du coffre,
le couvercle devait être verrouillé par deux chevilles cylindriques.
Christopher Dunn mesura en 1992 l'angle intérieur du
coffre de la chambre du roi et releva une valeur constante de 5/32 inch (soit
un rayon de quatre millimètres) sur toute la profondeur et sur les quatre
angles.
On peut voir encore les traces de ces rainures malgré d'importantes
dégradations.
Sarcophage de khéphren :
Ce dernier est très semblable au sarcophage de Khéops mais
de bien meilleure facture (Petrie n'a relevé comme variation maximale de
polissage que deux millimètres 14, Pyramids and temples of Gizeh)
Source : Wikipédia
Chambre du roi :
William Matthew Flinders Petrie fit une campagne de mesure
sur la Grande Pyramide, et releva cette grande précision : « La variation
moyenne dans la découpe des blocs comparée à une ligne droite ou un carré
théoriques parfaits, est de l'ordre de 0,010 in pour une longueur de 75 in7.
», soit 0,254 mm d'erreur sur une
longueur de 1,90 m. Pour obtenir ce
niveau de précision, il est nécessaire de posséder les outils et les méthodes
de mesure encore plus précis : on parle ici d'une tolérance de 0,00013 pour 1
(1 Inches ou (pouces) = 2.54 centimètres , 0,010 Inches = 0.0254 Centimètres, soit 0,254 millimètres).
(1 Inches ou (pouces) = 2.54 centimètres , 0,010 Inches = 0.0254 Centimètres, soit 0,254 millimètres).
Dunn mesura également la planéité d'un bloc de granite de vingt-sept tonnes, d'une précision de 0,0002 inches (soit 0,005 mm).
Source : Wikipédia
Les informations proviennent principalement de Wikipédia certains
ouvrages de W.M. Flinders Petrie sont aussi disponibles en format numérique tel
que "The pyramids and temples of
Gizeh", ceux de C Dunn proviennent essentiellement de Wikipédia, sont-elles exactes ? je ne sais pas, mais
toutes les personnes qui ont visité la chambre du roi ont été stupéfait par l'extraordinaire
précision des blocs, certains se sont exclamés par ces mots "on à
l'impression que ces blocs ont été débités au Laser"
Il est très difficile d'aborder le livre de W.M. Flinders
Petrie car celui-ci exprime tantôt des valeurs en 10 éme de coudé, quelque fois
en 100 éme de pouces. D'autre part il est indispensable d'avoir une bonne
maitrise de l'anglais pour aborder cet ouvrage.
Son ouvrage paru en 1883 est disponible ici : The pyramids and temples ofGizeh
Certes, on peut estimer la démonstration de Denys Stocks
suffisante, se dire, puisque l'on peut découper du granite avec du cuivre et du
sable, l'affaire est classé, n'en parlons plus !
On peut se contenter de digérer ce genre d'argument sans entrevoir l'œuvre dans son ensemble. Mais si l'on pousse la réflexion de façon plus pragmatique, que l'on tente d'imaginer la quantité de travail qu'il faut fournir pour arrivé au résulta escompté, la précision géométrique obtenue, la finition des surfaces internes et externes du sarcophage, des murs des joints, la prouesse que représente l'évidement du sarcophage etc. on est bien obligé d'admettre que cette technique d'abrasion semble insuffisante.
On peut se contenter de digérer ce genre d'argument sans entrevoir l'œuvre dans son ensemble. Mais si l'on pousse la réflexion de façon plus pragmatique, que l'on tente d'imaginer la quantité de travail qu'il faut fournir pour arrivé au résulta escompté, la précision géométrique obtenue, la finition des surfaces internes et externes du sarcophage, des murs des joints, la prouesse que représente l'évidement du sarcophage etc. on est bien obligé d'admettre que cette technique d'abrasion semble insuffisante.
Le fait de vouloir apporter des réponses avec ce genre de démonstration
ne constitue pas une preuve irréfutable en soi, mais juste une hypothèse parmi
d'autres, et cette hypothèse de me convainc pas.
En ce qui me concerne, sans fausse modestie car je crois ne
pas être le seul à le penser, j'ai le sentiment que les outils dont
disposaient les égyptiens ne permettaient pas d'atteindre une précision au 1/4 de millimètre. Certes ces
artisans et maitres d'œuvre étaient ingénieux, je ne remets pas en cause leur
intelligence, mais il est difficilement concevable qu'ils aient pu atteindre un
tel niveau de précision. La chambre du roi ainsi que le présumé "sarcophage",
sont des éléments qui constituent une des traces suggérant un outillage ou une
technologie bien plus évolué.
Au file du temps la maitrise des techniques du
"zzzzzzz" et du "poc" c'est affinée, elle semblent êtres au
poil pour apporter des réponses toutes cuites pour tout et n'importe quoi. Les "petits
dessins" qui illustrent les méthodes employées par les artisans égyptiens semblent
satisfaire la plupart des égyptologues.
Les techniques du "Chouiiiiic" et du "Couiiiic"
sembles très appréciés également :)
Une de mes connaissance aujourd'hui recyclé dans la
comptabilité, est parti visiter le site de gizeh dans une des étapes que lui
proposait le forfait de l'agence de voyage. Il m'a raconté ses impressions lors
de cette visite, cette personne est maçon de métier et a une certaine expérience
en ce domaine. c'est d'ailleurs pour cette raison qu'il c'est recyclé, la
maçonnerie lui a détruit les vertèbres. Voici ce qu'il m'a dit grosso-modo
(c'est absolument gigantesque, il faut le voir pour le croire, on ressent à la
foi de l'admiration mais aussi, il y a quelque
chose qui nous dépasse, honnêtement j'ai du mal à imaginer comment ils ont pu
réussir un tel exploit, ça parait irréel, j'ai bossé sur de gros chantiers !
mais on avait des machines des grues, des pelleteuses énormes, de la grosse
artillerie quoi ! Avant de partir, je savais que ça devait être énorme sans avoir été sur place mais
quand je me suis trouvé là bas, je me suis rendu compte du chantier, je sais
pas comment ils ont fait, franchement Il faut se rendre sur place le croire ! c'est
énorme )
A aucun moment les "archéo- égyptologues" ne se
sont interrogés sur les "traces" laissées par les
"bâtisseurs" qui sont pourtant visibles un peu partout sur de
nombreux sites, des traces représentées par des entailles, des trous, des
cavités techniques, des objets divers etc. Ce genre de "détails"
presque aussi visible que la grande pyramide elle même ne semble pas les avoir
interpelé. Se fourniraient t'ils chez le
même dealer ? Y aurait-il une substance susceptible d' occulter une partie de
la vision ? l'évidement du sarcophage lui même représente une énigme si l'on
considère les outils rudimentaires dont disposaient les égyptiens.
Images issues du documentaire (site Egyptiens) :
Les techniques du "ZZZZZZ" et du "POC"
laissent des traces c'est sûr !
Plateau sous la grande pyramide (hors documentaire)
fin de coupe :
Jointure des énormes blocs à la base de la grande pyramide :
Images glanées ici ou là sur la toile :
Puma Punku Bolivie, la pyramide à degrés est composé d'un
assemblage de bloques, certain d'entre eux pèsent plus de 400 tonnes.
Les archéologues ne parviennent pas à expliquer non plus les marques sur certains mégalithes.
Les archéologues ne parviennent pas à expliquer non plus les marques sur certains mégalithes.
Pérou :
Entaille rectiligne sur toute la longueur du bloc :
Ci-dessous la technique du "ZZZZZ" ne fait plus
aucun doute concernant le débitage, ce petit caillou à été déposé ici par des
techniques similaires à la démonstration des statues sur l'ile de pâque, sans
doute !? HOOOOOOOOO HISSSSSSSSSSE !
ils l'ont glissé sur des
rondins lubrifiés à la morve de trolls !?
Les poèmes d'Homère considérés comme étant des textes purement
artistiques et romantique se basent sur la mythologie grecque antique, Heinrich
Schliemann relève tous les indices géographiques présents dans les récits
d'Homère et de Virgile afin de déterminer la position de la ville qu'il situe,
avec l'aide de Frank Calvert, sur la colline d'Hissarlik. Il se rend sur place
et creuse une importante tranchée qu'il fouille pendant vingt ans. Son
enthousiasme le conduit à investir dans cette aventure une partie de son
immense fortune.
Malgré tout, la chance récompense sa volonté et ses efforts puisqu’il découvre en 1871 les ruines d'une citadelle (connue aujourd’hui sous l’appellation de « Troie II »). En continuant de fouiller, il met au jour plusieurs niveaux différents d'évolution de la ville. Dérouté par ces nombreux niveaux découverts sous la colline, Schliemann finit par identifier quatre villes distinctes et successives sous la ville qu'il avait découverte en premier (Troie II ou Ilion) et qui se situait au-dessus de toutes les autres (et était donc la plus récente). Il pense alors que la Troie d'Homère correspond au deuxième niveau à partir du bas, mais cette conclusion ne sera guère partagée par les autres archéologues et se révèlera fausse.
Ce site de fouilles archéologiques est aujourd'hui reconnu
sous le nom de "site archéologique
de Troie" par l'UNESCO.
Source : Wikipédia
Certains faits historiques sont racontés et sujets à des
interprétations, les récits des témoins sont souvent poétiques car ils sont
aussi influencés par l'aspect idéologique de l'époque, ces interprétations
sont transmises oralement et se mêlent inévitablement avec les croyances du
moment ainsi qu'aux traditions socioculturelles. Mais, il me semble que la mythologie est un pan de notre histoire, en la replaçant dans
son contexte elle peut nous donner des indices sur notre histoire.
Quelques éléments ou hypothèses dans ces documentaires sont intéressants :
http://www.dailymotion.com/video/xj89a9_les-civilisations-disparues-le-mythe-de-l-atlantide_travel?start=137
http://www.dailymotion.com/video/x173puy_dernieres-nouvelles-de-l-atlantide_tech
Pyramides en Chine :
https://www.youtube.com/watch?v=gkXEMtLq3kM
Stonehenge :
https://www.youtube.com/watch?v=iJXwpJsua2Y
Göbekli Tepe :
https://www.youtube.com/watch?v=uB0kZJUdcRM
http://www.dailymotion.com/video/xj89a9_les-civilisations-disparues-le-mythe-de-l-atlantide_travel?start=137
http://www.dailymotion.com/video/x173puy_dernieres-nouvelles-de-l-atlantide_tech
Pyramides en Chine :
https://www.youtube.com/watch?v=gkXEMtLq3kM
Stonehenge :
https://www.youtube.com/watch?v=iJXwpJsua2Y
Göbekli Tepe :
https://www.youtube.com/watch?v=uB0kZJUdcRM
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Ajoutez votre commentaire !